Ils ont de très bonnes raisons : des économies de fonctionnement, un rapprochement déjà largement effectif entre les universités et les hôpitaux, des intérêts économiques...
J'en ai une autre : la Franche-Comté améliorera de beaucoup la qualité de ses vins en fusionnant avec la Bourgogne. Et la Bourgogne y gagnera assurément sur ses fromages.
Quoi de mieux qu'un bout de comté avec un bon verre de Bourgogne?!
On pourra cependant se demander si le nord de la Franche-Comté n'aurait pas tout intérêt à préférer la choucroute...
CC
Voila un vrai billet politique.
RépondreSupprimerHé ! C'est quoi ces lettres antispams à saisir pour commenter ?
SupprimerFais comme moi, oblige les commentateurs à avoir au moins un OpenId pour commenter. Je n'ai plus de spams depuis et je n'ai perdu que très peu de commentateurs.
Mince, j'ai ça, moi ? J'avais pas vu...
SupprimerC'est la catégorie "Gastronomie et politique" du blog...
RépondreSupprimerExcelent argument! On n'aurait pas pu trouver mieux!
RépondreSupprimerAvec 2 L à excellent, évidemment...
SupprimerLes deux actuelles régions se complètent.
RépondreSupprimerVin fou, vin jaune... viennent en plus.
D'accord à 90 % avec ce billet. Les 10 % restants sont là pour deux raisons :
RépondreSupprimer1) Il faut bien que j'assure mon rôle d'emmerdeur des blogs,
2) Les Bourguignons font aussi quelques fromages remarquables, comme le chaource, le brillat savarin et surtout l'époisses. Dans un genre très différents de leurs voisins franc-comtois il est vrai.
Pour les vins, évidemment, yapafoto. À condition, pour accompagner les fromages, de taper plutôt dans les blancs : chablis grand cru, meursault, chassagne-montrachet, ce genre de babioles, voyez.
Oui ! J'adore les triples crèmes de Bourgogne...Mais ça ne vaut pas un bon comté de 18 mois (minimum) d'affinage...
SupprimerPour le comté, yapafoto comme l'écrit si bien m'sieur Goux!
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