22 novembre 2010

Guaino est viré...

Maintenant, c'est Bigard qui écrit ses textes.

A propos de l'affaire Karachi, lu sur lexpress.fr : 

...Une question précise lui a ensuite été posée sur son rôle spécifique à l'époque (ministre du Budget, puis porte-parole du candidat Balladur), après que Charles Millon eut évoqué l'existence de rétrocommissions. Et c'est là que les choses ont dégénéré, lorsque le président a ciblé, au second degré, le journaliste qui l'a interrogé: "Vous êtes un pédophile, j'en ai l'intime conviction, j'ai vu les services secrets mais je ne vous dirai pas lesquels, j'ai vu quelqu'un mais je ne vous dirai pas qui c'est, et c'était oral. Mais j'en ai l'intime conviction, vous êtes un pédophile!" 

Tout en finesse...

CC
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5 commentaires:

  1. c'est plutôt Guayno qui est viré je crois... c'est lui le nègre (comme dirait Guerlain)

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  2. C'est juste, Rimbus ! Je corrige ! Merci !

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  3. Attentat de Karachi : ces documents qui restent cachés.

    http://www.lemonde.fr/politique/article/2010/11/23/karachi-ces-documents-qui-restent-caches_1443806_823448.html

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  4. Invité de Bibliothèque Médicis sur Public Sénat, Valéry Giscard d’Estaing (VGE) s’est exprimé sur le dossier Karachi.

    L’ancien président de la République a affirmé qu’il existait une liste des rétrocommissions protégée par le secret défense. Or, « le secret défense n’a rien à voir avec celles-ci », a-t-il assuré.

    Alors que d’importantes zones d’ombre existent dans le dossier Karachi, Valéry Giscard d’Estaing est lui au moins certain d’une chose : « Il existe une liste des rétrocommissions puisqu’on la protège par le secret-défense. Si elle n’existait pas on n’aurait pas besoin de la protéger », a-t-il expliqué.

    http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/vge-retrocommissions-un-scandale-n-ont-rien-voir-secret-defense-56520

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  5. Attentat de Karachi : 8 millions d’euros pour l’intermédiaire occulte.

    Selon nos informations, l’Etat a accepté de dédommager en 2009 l’organisateur des rétrocommissions.

    Au nom de l’industrie de l’armement, un haut fonctionnaire de l’Etat Français a conclu, le 24 janvier 2009, un accord avec Jean-Marie Boivin, le financier qui coordonnait le versement de commissions occultes dans le cadre de ventes d’armes, notamment celle des sous-marins au Pakistan.

    Ledit accord prévoit de le dédommager à hauteur de 8 millions d’euros, comme nous l’évoquions ces dernières semaines.

    Au large de l’Irlande et de l’Angleterre, se sont ainsi achevées les curieuses tractations engagées dès 2006 entre Jean-Marie Boivin, gérant de la société offshore Heine, et divers ministres en exercice - dont Michèle Alliot-Marie, Thierry Breton ou Nicolas Sarkozy.

    http://www.liberation.fr/societe/01012304119-karachi-8-millions-pour-l-intermediaire-occulte

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