29 mai 2009

Perturbations passagères

Oh ! la !

C'est violent, là, non ?

En ce moment ? Vous trouvez pas ?

C'est plus violent qu'il y a quelques jours, oui ! Juste avant, la police obtenait même des résultats superbes, hein...

Les statistiques de la délinquance étaient extraordinaires, les crimes étaient en baisse ! Pensez-vous, avec Sarko Karcher, avec l'ex-ministre de l'intérieur, tout allait super bien.

Et puis là, patatras, ça ne va plus du tout...

Mais ne vous en faites pas, les meilleurs pronostiqueurs, un peu comme des météorologues du climat social, nous affirment qu'à partir du 8 juin, ça ira de nouveau très bien.

Ce n'est qu'une bête petite perturbation provoquée par une petite tornade électorale...

Trois fois rien...

CC
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2 commentaires:

  1. Deux écoliers de CE2 se bagarrent en récréation, puis se réconcilient : un des deux enfants est convoqué à la gendarmerie.

    Article paru dans Le Parisien du 31 mai 2009 :

    Un écolier de 8 ans a été convoqué hier à la gendarmerie de Courdimanche (Val-d’Oise) pour s’être bagarré pendant la récréation. Les militaires s’étaient présentés chez lui, la veille au soir, pour remettre la convocation à ses parents. D’abord abasourdi, le couple tient à dénoncer le « ridicule » de la situation, sans pour autant nier la réalité des faits.

    « Le petit a été auditionné par les gendarmes pendant vingt minutes, rapporte-t-il. Il reconnaît qu’il s’est battu avec un camarade. » Il avoue même qu’ils étaient deux contre un, parce que la victime des coups « cherche toujours à nous manipuler et à nous commander », justifie l’écolier. Son père s’indigne pourtant de cette procédure, qu’il juge démesurée : « C’est une histoire qui n’aurait même pas dû sortir de l’école. Elle aurait dû se régler entre adultes, au lieu de dramatiser à ce point. »

    « Il y a deux mois, la mère de cet enfant est venue me demander pourquoi mon fils s’acharnait sur le sien, reprend-il. J’ai juste répondu que s’il y avait un problème, l’institutrice nous en aurait parlé et le directeur nous aurait convoqués… » Selon lui, ni l’un ni l’autre ne s’est produit.

    La mère du garçon, elle, est allée déposer plainte. « La convocation est une conséquence logique », justifient les militaires. Si les parents des deux garçons ne se sont toujours pas rencontrés, les enfants, eux, se seraient déjà réconciliés.

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