30 septembre 2009

Brèves (de comptoir) !

[...ou comment boire pour oublier...]

Il paraît que Sarkozy a encore réussi à débaucher un type de gauche : Claude Evin. Sûrement une victime de la boisson...


Il paraît que Woody Allen aimerait bien embaucher Carla Bruni-Sarkozy pour son prochain film. Encore un qui boit...

Demain, Sarkozy réunira les principaux patrons de banques pour leur faire encore une fois la leçon. On va rigoler. Espérons qu'il y ait au moins un coup à boire.

Balladur évoque son slip. Ou celui de Sarkozy...enfin, on ne sait pas trop, mais ce qui est sûr, c'est que ce type picole...


Une semaine après avoir arrêté le corbeau qui envoyait des balles à Sarkozy, la Poste a livré une nouvelle lettre chargée de plomb au président. Avait-on fait boire le premier corbeau pour le faire avouer ?

Sarkozy déclare qu'il aime les jeunes. Euh...oui ! Les femmes plus jeunes que lui ! On avait remarqué, avec Carla !


Aujourd'hui, De Villepin, n'a pas évoqué Sarkozy, au tribunal, dans l'affaire Clearstream. Du coup, les médias n'ont parlé que de ça. Sarkozy a brillé par son absence. Il faudrait boire pour l'oublier, Sarko...

CC
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4 commentaires:

  1. claude évin dont la loi n'en finie pas d'être expurgée de toute substance... aucune fierté ?

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  2. Et au sujet de la grippe A, je n'ai qu'une chose à dire : SANTé !

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  3. Encore une bonne raison pour picoler :

    Les Etats occidentaux ont une dette publique qui est en train de les asphyxier (selon le gouvernement, la dette publique de la France sera de 90 % du PIB en 2012).

    Cette dette publique ne pourra JAMAIS être remboursée en raison de plusieurs nouveautés historiques (dépenses de santé qui explosent, vieillissement de la population, énergie qui va devenir de plus en plus chère, nécessité d’investissements colossaux pour remplacer les combustibles fossiles en voie de disparition, etc.)

    Quelle solution les Etats occidentaux vont-ils choisir pour ne pas mourir asphyxiés par leur dette publique ?

    1- Première possibilité : la guerre (envahir les pays musulmans pour leur voler leur pétrole, etc.)

    2- Deuxième possibilité : l’inflation. Faire tourner la planche à billets à plein régime. Monétiser la dette. Dommages collatéraux : l’inflation à deux chiffres, l’euthanasie des créanciers et des rentiers.

    3- Troisième possibilité : la répudiation de la dette. Certains Etats pourraient dire à leurs créanciers : « Désolé, mais nous ne pouvons pas rembourser notre dette. Nous ne vous devons plus rien. Nous remettons les compteurs à zéro. Et merci encore. »

    4- Quatrième possibilité : taxer les transactions financières. Je n’y crois pas. J’imagine mal Sarkozy instaurer une taxe sur les transactions financières. J’imagine mal Dominique Strauss-Kahn instaurer une taxe sur les transactions financières. Nos dirigeants politiques continueront à nous répéter : « Si nous taxons les transactions financières, les investisseurs partiront à l’étranger, et patati, et patata… »

    5- Cinquième possibilité : faire tout à la fois ! La guerre, l’inflation par la planche à billets, et la répudiation de la dette ! La totale !

    Est-ce qu’il y a d’autres possibilités ?

    En tout cas, tous les chefs d’Etats occidentaux vont devoir choisir.

    Moi, je retourne à ma bouteille.

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  4. Sur le site La Tribune.fr, nous pouvons lire le bilan de la semaine : la semaine a été catastrophique.

    « le marché a finalement été rattrapé par une série de statistiques américaines décevantes :
    - moral des ménages américains mardi 29 septembre,
    - indice PMI (directeurs d'achats) de Chicago mercredi,
    - indice ISM (directeurs d'achats) manufacturier jeudi,
    - l’emploi américain vendredi.

    L’économie américaine a détruit 263.000 postes en septembre, soit plus que le mois précédent, alors que les analystes attendaient au contraire une amélioration de la situation. Le chômage aux Etats-Unis se trouve à son plus haut depuis 26 ans avec un taux de 9,8 %. »

    http://www.latribune.fr/bourse/actualite/20091002trib000429114/consolidation-a-la-bourse-de-paris-sous-les-3.700-points.html

    Christine Lagarde commente ces chiffres, une bouteille de whisky à la main, les yeux exorbités, les cheveux en bataille, en éclatant d’un rire hystérique :
    « La récession est finie ! La récession est finiiiiiiiiiiiiiiie ! »

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